Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/168

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

— «Quoi c’est qu’ t’ as avalé
poivrot, boit-sans-soif, bec salé ?
Mon bijou… c’ que tu sens mauvais,
tu t’ rinc’s la dalle avec un pet,
à quinz’ pas tu tuerais des mouches ! »

Et si j’ la coltinais quand même :
— « Te m’ fais mal que j’ te dis, laiss’-moi…
qué crampon ! Il l’a toujours dure !
C’ que t’es brutal quand tu vous touches,
te sais pas t’y prende avec moi. »

Et fin finale a m’ tournait l’ cul,
en m’ jurant qu’a n’amait qu’ les vrilles
et que l’ Mâle y disait pus rien.

Et moi ! J’ me passais eun’ ceinture !
(sans compter qu’ pendant tout’ la nuit
a prenait les trois-quarts du lit !)