Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/83

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Ah ! vvvache… tu vas pas m’ fair’ poser !
T’ y pass’ras comme à ton baptême ;
j’ te veux,… j’ te tiens,… j’ t’aurai quand même,
et n’ gueul’ pas ou j’ vas t’écraser....

Ah ! Môme à moi,… je t’aim’, je t’aime !

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