Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1897.djvu/204

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Et si je n’l’ai pas... ben, je l’ prends.
Après tout, moi j’ suis du Théâtre,
J’ suis aussi un rouage influent.
 
Et j’ l’ gueul’, dût-il m’en cuire,
Que j’ m’en fous, quand j’ai rien dans l’ bide,
Des grapeaux, des cellunoïdes
Et de nos p’tits tzars, les ronds-d’cuirs
Qu’existent autant qu’ des androïdes
Et qui n’ont jamais pu produire
Aut’ chos’ que des z’hémorroïdes !
 
Si j’ l’avais seul’ment vu, le Tzar,
Hein ! si qu’il était v’nu me voir !
J’ crois qu’j’y aurais montré l’escaïer
Avec la pointe ed’ mon souïer.
J’y aurais fait d’ la phizolofie
 
Et j’y aurais crié d’ mon sixième :