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Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/117

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Alors, ça m’ réveille :
et j’arr’vois la Vieille,
la garce de Vieille,
la Vieill’ qui m’allume
avec ses yeux blancs.


À moi ! Bon !… j’étouffe,
j’ suis piqué, j’ suis loufe,
on veut m’ faire au quique ;
c’est chacun son tour.


Qu’il y vienne el’ mec
qu’en veut à ma tronche,
j’y f’rai avaler
un bout d’ma rallonge,
chacun ses z’ognons
et moi mes amours.