Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/92

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Seul’ment vieux, laiss’ ça,... c’est rouillé,
tu t’ mets pour peau d’ zèbe en quarante ;
r’gard’ comment que j’ vas travailler....
Rrrran !... Minc’ de pesée ! Minc’ de fente !


Hein ? C’est pas du boulot d’ gingeole !
Enquill’ Julot, pousse el’ verrou...
sans charrier..., nous voilà chez nous....
Ben... quéqu’ t’ as Juju, tu flageoles ?


S’pèc’ de schnock, tu vas pas flancher !
T’es-t’y un pote ou eun’ feignasse ?
À preusent que j’ t’ai embauché,
tu veux chier du poivre à mon gniasse ?


Tu sais,... méfie-toi..., l’est moins deux ;
pas d’ giries ou... j’ te capahute ;
et pis après j’ me mets les flûtes,
tant pir’ pour les canards boiteux.