dans cette circonstance, sont : le lieutenant-général Stroltz, les généraux Burthe, Vincent ; le colonel Briqueville, qui a été grièvement blessé ; les colonels Saint-Amand, Chaillot, Faudous, Schmidt et Paolini.
« On a l’ait dans ces deux all’aires beaucoup de prisonniers et pris environ un millier de chevaux.
« Les troupes ont été parfaitement secondées par les habitants des communes voisines qui ont assailli l’ennemi en tirailleurs, même avant l’arrivée de nos soldats. » On ne peut trop faire l’éloge de leur courage, ajoute le bulletin du 2 juillet. Un colonel prussien disait même à ce sujet, qu’on s’était battu avec un extrême acharnement, et qu’il ne s’était pas sauvé un seul homme de son régiment.
Cependant, le général Excelmans ayant rejoint le corps d’armée à Montrouge, où se trouvait aussi le malheureux général Labédoyère,