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INTÉRIEUR DE LA GRANDE USINE ALIMENTAIRE.
INTÉRIEUR DE LA GRANDE USINE ALIMENTAIRE.


— Je te le disais bien, mon ami, dit à son mari Mme Gontran, tu as peut-être eu tort de t’abonner à la Compagnie nouvelle…

— Mais puisqu’elle nous sert admirablement.

— Mais si cela ne dure pas ?

— Jusqu’à présent, nous n’avons pas constaté de défaillance ! bien au contraire, nous avons tous les jours des surprises agréables ! tous les jours nous dégustons des petits plats confectionnés de main de maître…

— Mais puisque cela ne durera pas !

— En attendant les mauvais jours, savourons toujours ce repas ! dit Ponto pour en finir ; nous allons voir si la nouvelle Compagnie s’est en-