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Page:Rocca de Vergalo - Les Livre des Incas, 1879.djvu/24

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iS LES GRANDES MISÈRES LES *AMES ^AILÉES A MONAMIALFRED DERRL’S O pleurs silencieux que je verse le soir Dans ma chambrette radieuse ! O souffrance mélodieuse, Muette au fond de l’ostensoir ! O cruelle désespérance ! O profond dégoût des beaux jours ! Je crois encor, j’attends toujours, Je tempère ma foi dans mon intempérance. Mais, non, je ne crois plus à rien : Vainement la philosophie Parle au coeur, l’âme s’en méfie, Et s’enivre dans le parfum vénérien.