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s’affligeait du chagrin visible de son enfant, prit peur à le voir hagard, épars, désemparé. Elle le questionna : « C’est-il Neele qui te fasse des misères ? Tu es beau, mon fils. Il y aura bien des autres filles belles pour toi. »
![](http://upload.wikimedia.org/wikisource/fr/thumb/b/b6/Rodenbach_-_L%E2%80%99Arbre%2C_1899%2C_figure_page_0085.png/400px-Rodenbach_-_L%E2%80%99Arbre%2C_1899%2C_figure_page_0085.png)
Joos disait très doucement : « Laisse-moi ! Ne me dis rien. » Mais il restait près d’elle, trem-