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Page:Rodenbach - La Jeunesse blanche, 1913.djvu/117

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LES JOURS MAUVAIS.


On sent qu’on a perdu tout le meilleur de soi !
C’est elle, la Jeunesse aux yeux noyés d’extases,
Qui mettait des bouquets de lis dans tous les vases.

Voici les Passions qui vont faire la loi,
Servantes de la voix impétueuse et forte
Qui grognent en usant les robes de la morte !