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Page:Rodenbach - Le Miroir du ciel natal, 1898.djvu/129

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IV

Les Premières Communiantes
Sont une apothéose en tulle ;
Ah ! retrouver son âme crédule
Et ses lèvres d’alors, si peu niantes.

Quel souvenir pour la femme !
Se revoir à travers les années
Telle qu’une petite mariée ;
Mais le pastel n’est plus ressemblant et se fane.