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Page:Rodenbach - Le Miroir du ciel natal, 1898.djvu/171

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IV

Luxe légué des vieilles villes,
Des cloches, l’air dolent,
Ouvrent des écrins dans le firmament :
Sons comme des gemmes encastrées,
Parures de Joyeuse-Entrée,
Et carillons dont les perles se désenfilent.

Allègres tintements
Qui sont de l’or torrentiel,