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Page:Rodenbach - Le Miroir du ciel natal, 1898.djvu/176

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VI

Ah ! ces cloches et cette pluie
Qui se sont obstinées,
Toute la journée,
Et sur mon âme, ensemble, appuient !

Je rêve de très tristes choses,
D’une orpheline avec sa camériste…
Comme la vie est triste
Vue ainsi à travers de la pluie et des cloches !