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Page:Rodenbach - Le Miroir du ciel natal, 1898.djvu/177

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Tout est fané, tout est défunt !
Ah ! cette pluie et ces cloches qui sont complices !
Dans mon âme grise
Elles ne font plus qu’un…

La cloche décroît, tandis que s’accroît
La pluie fine ;
Et dans mon âme, alors, on dirait qu’il pleuvine
En gouttes de son froid.