Page:Rodenbach - Le Règne du silence, 1901.djvu/134

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Et demeure captif dans les chambres songeuses,
Incapable de suivre et pourtant enviant
La folie au soleil des formes voyageuses ;
Tulle à jamais privé de l’azur ambiant,
Tulle des blancs rideaux qui s’empêche de vivre
Et d’effeuiller à l’air ses calmes fleurs de givre !