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Page:Rodenbach - Le Règne du silence, 1901.djvu/23

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LA VIE DES CHAMBRES.


Et quel soudain oubli de tout ! Quel réconfort
Quand le vague soupir des choses nous y berce,
Respiration lente et qui, rythmique, endort
Comme un bruit d’eaux, ou de jardin sous une averse !