Page:Rodenbach - Le Règne du silence, 1901.djvu/238

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XXI

Très défuntes sont les maisons patriciennes
Et très dorénavant closes dans du silence
Parmi des quartiers froids, en des villes anciennes,
Où les pignons, pris d’une inerte somnolence,
Ne voient plus rien de grand, dans le soir diaphane,
Qui descende sur eux du soleil qui se fane ;