Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/185

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Les horizons et le paysage adjacent
Dont le mirage en sa transparence descend :
Le ciel y réfléchit ses teintes sans durée ;
On y perçoit aussi, comme sur un vélin,
L’enluminure en or d’un vieux quai, d’un moulin,
Et toute l’ambiance y vit, miniaturée.