Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/50

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Qui s’effeuille parmi le déluge du soir.
Et les vitres, dernier champ clos du crépuscule,
Où l’Ombre a poursuivi le Couchant et l’accule,
Luisent, à cause d’eux, d’un adieu jaune et noir.