Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/65

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IX

Le soir quotidien descend
Dans les vitres qu’il décompose ;

On y voit s’évanouissant
Comme un encens sur une rose.

C’est un funèbre et bref conflit
Dans les vitres, lasses d’attendre.

Enfin le destin s’accomplit,
Pauvres vitres pleines de cendre…