Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/78

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Âme comme arrêtée au bord d’une eau placide,
Qui s’atteste à soi-même, avec soi se confronte,
Et, sous le ciel plein de lumière atrophiée,
S’aperçoit nue enfin, toute simplifiée,
Âme qui doit subir le soir comme une tonte !