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Page:Rodin - L’Art, 1911, éd. Gsell.djvu/75

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Or la couleur, — c’est à cette remarque que je voulais en venir, — est comme la fleur du beau modelé. Ces deux qualités s’accompagnent toujours et ce sont elles qui donnent à tous les chefs-d’œuvre de la statuaire le rayonnant aspect de la chair vivante.