Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/140

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Je suis encore, chère belle,
Votre joli grain de beauté
Tachant la blancheur irréelle
D’un épiderme velouté.
 
Moi, je suis la poussière grise
Enveloppant tout l’univers,
Que le vent promène à sa guise,
La cendre qui cache les vers.