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ÉCLIPSE DU 28 AOÛT 1905


À Monsieur le Marquis de Tornielli Lambertye.


Tous les savants calculs de notre astronomie,
À Paris et partout,
Nous la prédisaient bien pour une heure et demie,
Cette éclipse d’août.

Le soleil descendit en marche nuptiale,
Et la lune approchait,
En voilant sa beauté blafarde et glaciale,
Qu’un nuage cachait.