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ÉCLIPSE DU 28 AOUT 1905.


Sur les balcons fleuris des élégantes rues,
Chacun levait les yeux
Pour observer l’hymen, et suivre dans les nues
Ces astres radieux.

Et je les regardai d’ici-bas ces grands mondes,
Très attentivement,
Le prompt rapprochement dura quelques secondes,
L’espace d’un moment.