Cette page a été validée par deux contributeurs.
177
BALLADE DE LA COUCHE DE NAUZAN.
L’entoura d’une chaîne ;
Il perdit son honneur.
Alors, depuis l’an mille
Sous l’écume, au printemps,
Il file l’algue, il file,
Prisonnier dans cette île,
Sans repos en tout temps.
Ô riante jeunesse
Qui par ici passez,
Ne rêvez pas d’ivresse,
Ni de folle maîtresse ;
Plaignez-le, c’est assez.