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BALLADE DE LA COUCHE DE NAUZAN.

L’entoura d’une chaîne ;
Il perdit son honneur.

Alors, depuis l’an mille
Sous l’écume, au printemps,
Il file l’algue, il file,
Prisonnier dans cette île,
Sans repos en tout temps.

Ô riante jeunesse
Qui par ici passez,
Ne rêvez pas d’ivresse,
Ni de folle maîtresse ;
Plaignez-le, c’est assez.