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Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/31

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LES MARIAGES.


Dans une rue étroite, auprès de la grand’place,
Les époux de Dijon veillent sur un enfant ;
Un mal sombre le tient ; mais aucun ne se lasse
Et bravement on souffre, étant deux et s’aimant.

Devant la mer on voit à genoux au calvaire
La jeune femme en noir, non loin du bourg de Batz.
Les grands yeux sont noyés et sa bouche est amère,
Son regard obstiné sonde les feux là-bas !…