Page:Rojas - Lavigne - La Celestine.djvu/296

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

des brodequins du lieu que tu dis. » Ce passage ne pouvait être traduit littéralement.

99, page 172.

Voyez le vieux renard, toujours renard demeure,
Bien qu’il change de poil, de place et de demeure.

(Vieux dicton populaire.)

100, page 174. — Expression familière : Ne plus rien posséder, être réduit à rien, être à sec.

101, page 175. — Buena manderecha, littéralement : une bonne main droite ; vieux mot du style figuré.

102, page 175.

Ni todo lo que parece oro
Es mas que la aparencia.
(Proverbios morales de Alonzo de Barros.)

103, page 175. — Vieux dicton populaire dont je n’ai pu trouver le complément. Nous avons l’analogue dans le langage vulgaire : « Ni vu ni… »

104, page 178. — Expression familière : Ne m’irrite pas, ne lasse pas ma patience.

105, p. 181. — Le texte dit : mozo de espuelas, littéralement valet d’éperons. On appelait ainsi le valet qui marchait à pied à côté du cheval.

106, page 184.

Ni puede dar gran caida
Aquel que poco subio.
(Proverbios morales de Alonzo de Barros.)

107, page 188. — Il y a dans le texte : « Il a raison de le manger avec son pain. »

108, page 189. — C’est ici, à partir des mots : « Nous as-tu entendus », qu’ont été introduites par l’auteur dans la deuxième édition (Salamanque, 1500) les scènes nouvelles qui forment la fin du quatorzième acte, le quinzième, le seizième, le dix-septième, le dix-huitième et presque tout le dix-neuvième, jusqu’aux mots : « Tenez-vous, seigneur, à l’échelle… »

(Voir la préface, p. xii et xiii.)

109, page 190. — Tresquilan me en consejo, y no lo saben en mi casa. Expression proverbiale.

110, page 191. — Allusion au proverbe espagnol : A falta