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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/162

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PALMIRA.

Il m’assura que non, et me raconta que, la veille de son départ, mon père lui avait dit en soupirant qu’il était bien cruel d’avoir à punir un enfant, si long-temps l’objet de ses délices et de son orgueil. Miladi paraissait beaucoup plus irritée que lui. Edward m’invita à la résignation, et me proposa ses arrangemens. Un homme habile de Londres devait arriver pour l’époque de ma délivrance, qui devait avoir lieu à Roche-Rill. Akinson, toujours pénétré d’attachement pour moi, s’y trouverait aussi, afin de se charger de mon enfant, et le conduire dans le comté de…, pour le confier à une paysanne déjà désignée.

Aussitôt après mon rétablissement,