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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/168

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PALMIRA.

Oh ! mon bon Edward, lui dis-je en lui montrant la petite chaumière que l’on appercevait à l’extrémité de la prairie, Palmira est là ; je ne puis vivre ailleurs. Il me serra la main, en me répondant : Remettons donc une si précieuse réunion à quelques années. J’abandonne l’Angleterre avec la plus grande répugnance, continua-t-il en soupirant, et j’accélérerai mon retour par tous les moyens possibles.

Ce grand voyage occasionnait tant de préparatifs, qu’il fut forcé de me quitter très-promptement. Quelques semaines après, il s’embarqua. Ce départ sembla être le signal de nouveaux malheurs pour tous les Sunderland. J’en sus les détails par l’af-