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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/169

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PALMIRA.

fligé Akinson, qui de temps en temps venait me voir.

Il m’apprit que le cœur insensible du fier Mortymer s’était laissé toucher par les attraits d’une jeune fille d’une naissance honnête ; mais bien éloignée, dans l’opinion de son amant, de celle du fils d’un duc et pair. Mortymer était beau, même aimable quand il le voulait. Il fut aimé de miss Summer, qui le lui prouva avec trop d’abandon. Un frère, rempli d’honneur et de délicatesse, en fut instruit. Il vint trouver Mortymer, et lui dire : Vous seriez d’un rang supérieur encore, ou de la dernière classe de la société, que j’exigerais que vous épousassiez ma sœur.