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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/185

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PALMIRA.

dont il avait trop abusé, végétait dans ses terres ; que sa retraite avait comme anéanti les autres ennemis d’Edward.

D’ailleurs un gouverneur honnête homme, lui ayant succédé et s’étant assuré que toutes les accusations étaient fausses, avait travaillé secrètement à en acquérir des preuves : il s’écoula un laps de temps très-considérable, avant qu’il eût pu terminer ses recherches ; mais ayant enfin réussi, il en fit passer le résultat à milord Alvimar. Ce dernier, profitant de la chûte des Spinbrook, du changement du ministère, avoit obtenu la révision du procès qui, jugé alors par des hommes probes, que l’intrigue ne chercha pas à aveugler,