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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/190

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PALMIRA.

dirigez mes démarches, afin qu’on dise de moi un jour : Qui peut s’étonner de la voir intéressante, irréprochable ? elle fut l’élève de ladi Élisa.

Cette journée se passa d’une manière délicieuse ; la joie de l’intérieur se répandit au dehors ; et, grace aux largesses de milord Sunderland, de long-temps la misère n’approcha des habitans d’Heurtal, même lorsqu’ils furent privés de la bienfaisante présence de la famille d’Harville.

Une semaine s’écoula ; personne ne demandait de retourner à Londres. Sir Abel ne quittait pas ses belles cousines ; il les nommait ainsi toutes deux, disant que Palmira étant d’Écosse, de la famille de feu