Aller au contenu

Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/204

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
200
PALMIRA.

gardé presque publiquement comme l’époux de Simplicia, fut accueilli avec beaucoup d’égards. Il égaya et anima le cercle ; et Palmira trouva la fin de la journée moins désagréable que n’en avait été le commencement.

En partant, miladi Arabel fit des invitations pour aller le lendemain chez elle ; et, engageant individuellement, elle eut l’impertinence de ne pas prier Palmira. Cette petite Écossaise me déplaît à la mort ; je ne veux pas la recevoir, répondit-elle à sa belle-mère, qui lui avait fait observer qu’elle était inséparable de Simplicia.

Quand les personnages indifférens furent partis, Élisa dit à ses amis : Demain, je crois que je serai