Aller au contenu

Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/211

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
207
PALMIRA.

ladi Simplicia ; sa parure élégante faisait briller d’un nouvel éclat sa jolie figure, ses graces naturelles. Tous les hommes enviaient le bonheur d’Abel. Palmira, comme les autres, admirait sa cousine. Elle fut frappée un instant de la rêverie profonde où était tombé Abel ; mais bientôt elle l’en vit sortir et causer assez gaiement avec Simplicia.

Deux hommes d’un certain âge étaient placés devant Palmira et Mathilde. Celle-ci en connut un pour être le baronnet Grenville. Ces messieurs s’occupaient aussi des objets qui avaient attiré l’attention générale. Voilà, en vérité, disait le baronnet Grenville, près de dix-huit ans que je n’avais vu ladi Élisa Sunderland,