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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/223

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PALMIRA.

qu’elle n’était arrivée. Palmira lui était si chère, que ses souffrances, réelles ou imaginaires, l’affectaient beaucoup. Elle est fière, se disait-elle, un peu ambitieuse ; je voudrais pouvoir lui céder mon nom, ma fortune ; et moi, je serais toujours assez riche avec mon père, ma tante, et sir Abel.


Fin du tome premier.