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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/25

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PALMIRA.

éloignés ou miss courait au-devant de moi, quand j’arrivais chez sa nourrice, frappait dans ses petites mains, transportée de joie à l’aspect du bonbon, des joujoux que j’apportais, et qu’elle distribuait si généreusement aux autres enfans ! Il allait continuer ; madame Harville s’empressa de l’interrompre, et de l’inviter à aller prendre du repos.

Néanmoins il en avait dit assez pour rappeler à la mémoire de Palmira que c’était le même être qui avait veillé sur son enfance, et dont elle avait parlé dernièrement à sa sœur. Akinson se préparait à profiter de l’offre que venait de lui faire madame Harville, salua Simplicia, et, s’approchant de Palmira, dit à sa