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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/150

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PALMIRA.

ni de vous mépriser. Il était même tenté de le retenir, puis il eut le bon esprit de sentir que son éloignement était indispensable ; mais il se promit d’observer sa conduite à Londres, et d’appaiser son père, s’il pénétrait le véritable motif qui le forçait à quitter l’Angleterre.