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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/173

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PALMIRA.

ailleurs, sur-tout étant veuf, sans enfans, et possesseur de ce diamant, qui vaut cinq cents guinées ; mais j’exige votre parole de ne jamais reparaître ici, ne voulant pas que l’on puisse interroger le témoin d’une fuite qui doit être enveloppée d’un mystère impénétrable.

George, ébloui des cinq cents guinées, accepta, et promit de se soumettre à toutes les mesures proposées par miss Harville. Cependant il lui demanda si elle n’aurait aucune crainte de se confier à lui et à son frère, dans leur barque si frêle. Elle l’assura qu’elle ne redoutait rien. Alors George s’engagea de venir, la nuit qu’elle lui indiquerait, la chercher avec deux chevaux, dont l’un