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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/186

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PALMIRA.

considérées qui font abandonner furtivement le toit paternel, ou l’asile hospitalier de l’amitié ; mais, je t’en prends à témoin, nul coupable dessein n’a déterminé ma fuite : daigne donc la protéger ! Puis, se pénétrant de la nécessité de s’éloigner promptement, elle monta à cheval, et, se servant de toute son agilité, dans une heure elle fut rendue au bord de la mer.

Les pâles rayons de la lune l’avaient éclairée jusqu’alors ; mais elle s’obscurcit dans ce moment, et la nuit du chaos aurait été moins sombre. George, lui dit son frère James, je parie[illisible], sur ma tête, qu’il y aura un ouragan[illisible] avant le lever du soleil. Palmira déclara qu’elle ne redoutait