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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/217

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PALMIRA.

Roger ? Voilà donc cinq mois que je suis bien heureuse ; mais regrettant sans cesse que ma pauvre mère n’en soit pas le témoin. Palmira l’embrassa, voyant qu’elle avait fini de raconter, et elles rentrèrent dans la maison.


Fin du tome second.