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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/28

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PALMIRA.

déjà lié connaissance avec les femmes de la maison, et était dans l’admiration des éloges qu’elle avait entendu faire de leur maître. Ces trois dames sont bien belles, disait-elle, et on assure qu’elles sont meilleures encore. Mademoiselle Marie, qui n’a pas la tournure d’une personne de la ville, mais qui me paraît très-considérée ici, nous contait tout-à-l’heure que, depuis qu’elle était à Londres, elle avait entendu reprocher à miss Palmira d’être un peu fière. Hé bien, ajoutait-elle, que l’on aille à Heurtal consulter les habitans, pour savoir près d’eux si celle qui venait les visiter dans leur cabane, travailler de ses mains délicates à leurs grossiers vêtemens, les soigner quand ils étaient