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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/124

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PALMIRA.

son grand oncle maternel, le chevalier Berris ; il n’a peut-être pas oublié, malgré qu’il fût encore dans l’enfance à cette époque, la prédilection que lui manifesta cet estimable parent lors de son voyage en Angleterre ; il vient d’en donner un dernier témoignage en lui léguant tous ses biens, peu considérables sans doute, par rapport à l’immense fortune destinée à l’héritier de la maison d’Alvimar ; mais, s’il avait quelque idée de l’habitation de Berris-Tonn, il ne la dédaignerait pas.

« Placée dans le plus délicieux canton de l’île, ses bâtimens, de simple apparence, n’en sont pas moins d’une distribution commode