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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/210

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PALMIRA.

y avait eu des projets d’alliance entre votre famille et celle de Sunderland, mais qu’ils étaient rompus. Tout me porte à croire que cette dernière assertion est fausse, ou du moins que vous les avez renoués depuis. — Quelque espoir m’est permis. — Fort bien ! mais cela me déroute, vous ayant cru véritablement un héros de roman. — Moi. — Oui, vous ; car on m’avait confié aussi votre passion pour une femme excessivement belle, à qui d’abord vous aviez tout sacrifié. Mais, je le vois, les charmes de la jeune Simplicia, ses avantages en tout genre, ont fini par vous faire oublier une infortunée, qui meurt peut-être d’amour et de douleur.