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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/46

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PALMIRA.

sait tout haut une gazette anglaise ; on y avait inséré un article au nom du duc de Sunderland, relatif à sa pupille, sa fille adoptive, ainsi qu’il la nomme. Abel a changé plusieurs de fois de couleur ; il a parlé bas à Arthur. Son désordre était inexprimable. Mon fils l’a entraîné. Le vôtre est resté chez lui toute la soirée, se plaignant d’être incommodé. Je lui ai envoyé mon médecin, qui a trouvé ses nerfs dans un état déplorable. Aujourd’hui il est mieux ; seulement sa figure, son maintien, décèlent un surcroît d’inquiétude, de tristesse.

« Donnez-moi des détails, sur-tout, si vous en connaissez la raison, n’oubliez pas de me dire pourquoi