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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/139

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PALMIRA.

Il fut demander à Carloni l’unique réparation qui convenait à une famille pauvre, mais vertueuse. Carloni osa lui reprocher sa fourberie de participer au projet d’une jeune créature ambitieuse et imprudente, ou sa faiblesse de pouvoir en être la dupe.

Mon père, la tête vraiment égarée, le quitte pour courir chez madame la duchesse. Elle le reçoit d’abord avec assez de bonté : Jeronio s’explique, et montre la promesse. Miladi, après y avoir jeté un coup-d’œil, répond : Votre fille a une combinaison d’artifice bien étonnante pour son âge ; elle devrait au moins y mettre plus d’adresse et de vraisemblance. Cette écriture n’a pas le