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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/148

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PALMIRA.

impossible de se traîner plus loin. Palmira ne savait plus quel parti lui conseiller de prendre, lorsque Paula lui demanda si Rosine était encore au château. — Oui, elle est même à mon service. — Elle en est digne, madame ; c’est une excellente fille. Si je pouvais la voir, elle a beaucoup de parens, de connaissances dans les hameaux environnans. Trois années ont dû effacer l’impression des ordres de Carloni. Il serait peut-être possible qu’elle me trouvât un asile momentané.

Miss Eveling alors s’engagea à lui envoyer Rosine. Il n’était que huit heures ; elle avait encore le temps avant le lever de la duchesse. Elle vola au château, et raconta son