Aller au contenu

Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/173

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
167
PALMIRA.

vous savez, Paula, ajouta-t-elle, que vous ne la trouverez que dans la sagesse et le travail. Réparez les torts d’une éducation futile, d’un penchant à l’oisiveté : soyez laborieuse, irréprochable à l’avenir, et vous réparerez les fautes de votre jeunesse.

Carloni observa que la duchesse devait être réveillée, et Palmira répéta un adieu plein d’intérêt. Pour Carloni, il s’en éloigna comme d’un objet qui lui faisait éprouver l’impression la plus désagréable. Étant à une certaine distance, il dit à Palmira : Ô miss Eveling ! quel est donc votre pouvoir ? Vous métamorphosez la vengeance en douce bienveillance ; vous embrasez les cœurs les plus froids des feux les plus