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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/185

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PALMIRA.

et c’était dans la maison de son aïeule que l’infortunée se voyait dans ce cruel isolement.

Peu de temps après cette scène, entre Carloni et Paula, qui l’avait si justement glacée d’effroi, elle se promenait dans l’orangerie qui bordait les fenêtres de la casetta. Ce premier l’apperçut au moment d’entrer chez la duchesse. Il vola la rejoindre avant qu’elle fût retournée sur ses pas : De grace, miss Eveling, une minute d’entretien. — Que me voulez-vous ? Tous les jours, je vous vois, je vous parle chez miladi Sunderland. Pourquoi troubler mes promenades méditatives, le seul plaisir que je puisse avoir ? — Le seul