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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/197

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PALMIRA.

dernière volonté n’était point encore arrivée.

Quand Rosine fut partie, miladi Sunderland eut la bonne foi de dire à Carloni que son desir de l’obliger pouvait la faire accuser de tyrannie par miss Eveling, qu’elle faisait presque sa prisonnière. Cela ne peut durer ainsi, répondit Carloni, je le sens bien. Madame la duchesse ne s’est que trop mêlée de cette malheureuse affaire qui trouble son calme habituel, et cette idée augmente mes tourmens. Miladi le rassura, chercha même à le consoler, mais finit cependant par convenir que son projet était de rendre la liberté à Palmira vers la fin de la semaine.

Carloni revint chez lui, abymé